La réponse apportée par PICNIC ? Un kiosque mobile, autonome en énergie solaire, modulaire, et déployable en quelques minutes sans contrainte de véhicule lourd, de montage/démontage ou de raccordement électrique.

Par l’éco-conception de ces micro-architectures éphémères et durables, PICNIC se donne pour mission d’innover positivement au bénéfice de la relation de proximité avec le public, des besoins des organisateurs d’événements, et bien sûr, de l’environnement.

La vision de l’événement responsable selon PICNIC

Face aux urgences climatiques, le secteur de l’événementiel a son rôle à jouer et se doit de conjuguer le durable à l’éphémère. En somme, l’éco responsabilité qui correspond à la volonté de limiter son impact environnemental, n’est plus une option. Elle est attendue par le public, séduit par les événements propres et engagés dans le respect de l’environnement. Elle est également poussée par les pouvoirs publics, qui conditionnent davantage l’attribution de subventions à des critères d’écoresponsabilité. Enfin, et surtout, elle est urgente à mettre en place dans un contexte de crise environnementale et énergétique, et par un secteur générateur de diverses et nombreuses formes de pollution.

L’éphémère durable par PICNIC

L’événement, par nature éphémère, peut-il être durable ?

Un événement implique de rassembler des personnes (acteurs et publics), ainsi que des moyens matériels autour d’une activité, en un temps limité généralement court, et sur un espace défini. L’événement a donc des besoins importants et concentrés, en logistique, en déplacement et transports, en énergie, en denrées alimentaires etc… Il est donc générateur de coûts environnementaux et d’externalités négatives.
Et si nous envisagions l’événement différemment ? Par sa nature éphémère et expérimentale justement, ne serait-il pas une opportunité ? Celle de démontrer qu’il est possible d’engendrer des externalités positives et non négatives, sur un lieu, à un moment donné, grâce à des actions collectives écoresponsables : celles des organisateurs de l’événement, et celles d’un public concerné et réceptif.

L’événement, d’autant plus parce qu’il est éphémère, pourrait être le terrain d’expérimentation, la preuve par l’exemple d’actions concrètes, responsables et durables. Un événement qui serait une démonstration in situ des 3 piliers RSE (Sociétal, Économique, Environnemental).

Un événement qui serait vertueux :

• Créateur d’interactions, de mixité et de liens sociaux (dont la période de pandémie et de confinement nous a démontré l’importance),
• Créateur d’une richesse économique sur toute la chaîne de valeur de l’événement et sur le territoire ; créateur d’emploi,
• Générateur d’actes vertueux pour l’environnement : usages des mobilités douces et du covoiturage, d’énergies autonomes, de matériels et de ressources éco-conçues, recyclables, réutilisables, gestion des déchets, alimentation végétarienne et locale, circuits courts…
• Vecteur de pédagogie et d’apprentissages : l’événement par sa convivialité, l’expérience qu’il procure en un temps et espace limité est le terrain de jeu idéal pour sensibiliser le public aux pratiques éco-responsables.

Transformer les externalités négatives sur l’environnement en externalités positives

Voici quelques exemples de l’impact environnemental des événements, en plein air notamment.

• Dégradation de la biodiversité des sites, production de déchets, de nuisances sonores… Selon l’Ademe, un événement réunissant 5000 personnes produirait 2,5 tonnes de déchets et consommerait 1000 kWh d’énergie, et 500 kg de papier

• Les émissions de CO2 liées aux transports, très utilisés lors d’événements pour s’y rendre, mais également pour déplacer les infrastructures. Dans son rapport Décarbonons la culture daté de 2021, The Shift Project détaille l’empreinte carbone d’un festival rassemblant 280 000 personnes sur 4 jours en périphérie. Ce festival émettrait environ 13800 tonnes équivalent carbone, soit “l’empreinte carbone annuelle de près d’un millier de Français”. Le résultat est sans appel : 68% des émissions CO2 totales du festival seraient dues au transport. Par ailleurs, l’étude estime à trois tonnes la masse moyenne déplacée (déplacement du matériel et infrastructures etc…).

• La consommation énergétique : Selon l’ADEME, “une manifestation qui rassemble 1000 personnes consomme 200 KWh d’énergie, soit 3 ans d’éclairage avec une
  ampoule économique (15 w)”. Les aménagements au sein d’un événement consomment beaucoup d’énergies, et le recours aux traditionnels groupes électrogènes reste majoritaire.
  Pour PICNIC, éco-concevoir des micro-architectures autonomes en énergies et déployables au plus près de public n’est pas une simple innovation technologique. Depuis ses débuts, l’équipe PICNIC se donne pour mission d’être moteur de changement positif sur l’environnement lors d’événements indoor et outdoor.

L’autonomie énergétique

Quelque soit la nature d’un événement (sportif, culturel, professionnel), son organisation consiste à concentrer une multitude de ressources : humaines et logistiques et une diversité d’actions, tout en nécessitant le déplacement de ces mêmes ressources (aller et retour sur le lieu de l’événement, montage et démontage…). L’ensemble est très énergivore, émetteur
de pollutions de toutes sortes (émissions carbones, déchets alimentaires, dégradation des sites et de leurs sols…).

PICNIC est une alternative à ces ressources énergivores. En quelques chiffres, la solution PICNIC c’est : 0L de carburant, 0 émission CO2, 0 décibel et 5 à 15 min de montage sans
aucun raccordement. En effet, le kiosque PICNIC est autonome en énergies propres, il dispose d’une centrale énergétique assurée par des panneaux photovoltaïques. Quelque soit les conditions climatiques, et en l’absence de soleil, les batteries prennent le relais, rechargées par les technologies photovoltaïques et éoliennes pour une autonomie infinie.

Aucun raccordement électrique n’est donc nécessaire, la luminosité naturelle est privilégiée grâce à l’ouverture sur les 4 côtés du PICNIC, et le déploiement des auvents protègent de tout aléa (pluie, vent, soleil). Connecté, le kiosque PICNIC permet de suivre sa consommation énergétique via une application en temps réel.

Des kiosques éco-conçus et mobiles

Éco-conçu et écoresponsable, le kiosque reflète les 3 piliers RSE et l’ADN militant de PICNIC. Tout est mis en œuvre pour minimiser les émissions en C0². Les kiosques sont éco-conçus et fabriqués au sein d’un atelier à Aubervilliers. Ils sont composés de matières premières éco-responsables, (bois en PEFC et FSC, vernis écolabel Européen, acier recyclé et recyclable), sourcées localement.

Le circuit-court est prioritaire tant en termes de sourcing de matériaux, que de partenariats franciliens pour la fabrication. “Pour rendre l’architecture modulaire aussi simple qu’un Picnic”, les kiosques se déploient en quelques minutes sur le terrain, épargnant les coûts et contraintes logistiques de montage et de démontage.
Qu’il soit pop-up store, point d’information éphémère, ou stand, le kiosque PICNIC est tractacle facilement avec un véhicule léger (le permis B est suffisant pour déplacer le modèle PICNIC M.). Cette mobilité permet de capter les flux là où ils sont, avec un kiosque design, aménagé et personnalisé à l’image de l’exposant.

Enfin, le kiosque PICNIC qui se décline en 3 modèles selon la capacité d’accueil requise, est disponible à la location courte et longue durée. Stocké au sein de l’atelier PICNIC avec son service de maintenance, le kiosque est réutilisable et se réinvente selon les besoins.

Un kiosque mobile et autonome qui place l’impact environnemental et l’expérience du public au cœur de son innovation

L’aventure PICNIC a débuté il y a 4 ans avec 3 amis d’enfance et cofondateurs : Raphaël, Nicolas et Maxime. Les “trois baluchons” comme ils aiment à se nommer, sont partis du
constat que le marché du modulaire ne possède pas de solution éco-responsable et donc détient un grand impact sur l’environnement en engendrant une pollution sonore, visuelle et
atmosphérique.

Leurs casquettes respectives d’architecte-designer, d’ingénieur et d’entrepreneur leur donnent les connaissances de terrain nécessaires pour apporter une innovation engagée, qui casse les codes en conjuguant éco-responsabilité, mobilité et expérience utilisateur. La solution en question ? Les kiosques PICNIC, éco-conçus dans leur atelier à Aubervilliers.
Ils ont pour particularité d’être mobiles, modulables, connectés et autonomes en énergies renouvelables.
Déployables rapidement au plus près du public et facilement transportables, ces kiosques permettent un énorme gain d’énergie, de temps et d’argent. Inventer l’expérience de proximité nouvelle génération est la raison d’être de PICNIC en permettant à chaque client d’aller à la rencontre de leur public, tout en assurant ses engagements RSE.

Aujourd’hui, l’équipe PICNIC travaille principalement avec les organisateurs d’événements et agences événementielles (street-marketing, roadshows, point d’accueil des visiteurs,
animations…), avec des collectivités territoriales (mairie mobile, office de tourisme hors les murs…), des opérateurs de transport (agences itinérante…), ou encore des promoteurs
immobiliers (bulles de vente…). Ayant remporté de nombreux concours d’innovation responsable, noué des relations solides et de confiance avec ses clients et partenaires grâce à de beaux projets, PICNIC poursuit sa dynamique d’innovation de façon agile et ludique.

Car ses kiosques sont modulaires et multifonctionnels : libre à chaque client de lui donner vie en fonction de son image, de ses besoins et des usages de ses publics. Permettre au secteur événementiel de générer des externalités positives sur son environnement, transformer les défis environnementaux et climatiques en opportunités. C’est ce que propose PICNIC en apportant une vision positive de l’innovation, à visage humain, pour créer du lien avec le public et de la convivialité au sein de l’espace urbain.